Voila ce qu'on ma dit quand j'ai passer commande hier pour commander une linkers....Ce message je vien de l'avoir...
Je crois que je me suis fait avoir...et j'ai perdu 35Euro...
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Citation:
S'ils font la joie de certains possesseurs de DS, les linkers sont une véritable bête noire pour Nintendo qui, en France, leur mène la vie dure depuis plusieurs années. Engagé dans une procédure l'opposant à plusieurs sociétés important et distribuant ces fameux linkers sur le sol français, le fabricant vient de subir un important revers. Jeudi, le tribunal de grande instance de Paris a prononcé la relaxe des distributeurs et ordonné que soient restitués les stocks qui avaient pu être saisis lors de l'enquête. Dans un communiqué, l'un de ces distributeurs clame sa satisfaction, et se félicite que Nintendo ne puisse pas, « en l'état actuel des choses, interdire la vente des linkers en France ».
Qu'ils s'appellent « R4 Revolution », « M3 DS Real Rumble » ou tout simplement « DS Linker », ces linkers se présentent comme une cartouche de jeu pour Nintendo DS, dans laquelle on pourra glisser une carte mémoire (MicroSD). Au sein du linker, on trouve un composant logiciel qui vient se substituer au système d'exploitation de la console, et permet de lancer sur cette dernière des contenus qu'elle n'est pas censée faire fonctionner. Parmi ces contenus, on trouve les fameux homebrews, jeux ou applications développés par des indépendants, mais aussi et surtout des jeux « piratés », images de cartouches vendues dans le commerce et partagées sur le Web par les internautes.
Confidentiels il y a deux ans, les linkers sont désormais assez fameux pour que conseils d'achat et bonnes adresses circulent dans les cours d'école comme sur les forums Internet. Garant de la santé financière de l'écosystème DS, Nintendo se doit évidemment de lutter contre le phénomène. Fin 2007, le fabricant ouvre les hostilités, et fait conduire plusieurs opérations de saisie pour contrefaçon chez diverses sociétés distribuant ces linkers. En parallèle, il ouvre une procédure en justice, là encore motivée par la contrefaçon, grâce à laquelle il espère bien frapper un grand coup dans les milieux des boutiques et revendeurs spécialisés.