ou quand sony ecrase tout L'histoire de la Playstation de Sony est assez spéciale puisque, au départ, cela devait être une console Nintendo ! A l'époque, les 2 géants japonais travaillaient ensemble sur le développement d'un lecteur CD pour la Super Famicom pour concurrencer Sega et NEC. Ce projet était désigné sous le nom de code "Playstation".
Mais Nintendo créa la surprise en annoncant que le système serait finalement développé avec le géant hollandais Phillips (projet qui sera également abandonné). Sony se retrouva donc avec un prototype presque finalisé sur les bras. Au lieu d'oublier cette histoire et de ranger la machine au placard, Sony décida de concurrence Nintendo sur son propre terrain. La Playstation fut donc revue et corrigée pour être finalement commercialisée au Japon au mois de décembre 1994. Les USA et l'Europe suivront en septembre 1995.
D'emblée, le succès fut au rendez-vous avec plus d'un million de consoles vendues en moins de 6 mois rien qu'au Japon. Ce succès ne fera que se confirmer par la suite, ne laissant aucune chance à ses rivales qu'étaient la Saturn de Sega, la Jaguar CD d'Atari et la N64 de Nintendo. De toute l'histoire des consoles, la Playstation est la console de salon qui s'est le plus vendue au monde (+/- 90 millions).
NO COMENTles produits Micro$oft doivent leur succès pour la plupart à la chance incroyable dont a bénéficié l'éditeur de Redmond à ses débuts, ainsi qu'au réel talent de Bill Gates pour vendre sa camelote, auquel il faut ajouter de nombreuses intimidations et pratiques anti-concurrentielles (que nous révèle chaque jour le procès pour abus de position dominante). Si les manchots du Pôle Sud avaient des dollars, cet homme (? ;-) arriverait probablement à leur vendre des frigos ou trouverait un moyen pour les obliger à en acheter. Car si Mikro$oft sait vendre ses produits, profitant parfaitement des erreurs stratégiques de la concurrence et sachant toujours réaliser les bonnes alliances commerciales, cette société éprouve de grosses difficultés à concevoir des logiciels de qualité. Ceux-ci sont souvent incroyablement illogiques et collectionnent les erreurs de programmation (bugs ou bogues) comme Bill Gates amasse les dollars virtuels et réels. Word, Excel, Access, Internet Explorer, Outlook, Internet Server et, encore plus, Windows, par leur complexité, leur instabilité et les bogues dont ils sont truffés, sans parler de leurs failles de sécurité qui en font les cibles préférées des pirates, sont de remarquables exemples de l'incapacité de Microsoft à écrire de bons programmes et à transformer de grosses m… en paquet de dollars.
Certes Micro$oft corrige régulièrement ses produits d'un grand nombres d'erreurs, ce qui permet à chaque fois d'organiser un grand battage médiatique, histoire de berner les gogos et d'acheter une nouvelle fois les faveurs de la presse qui a trop besoin d'argent pour vexer un si gros annonceur. Les critiques, destinées à rassurer le lecteur sur la probité des journalistes, seront pour les plus petits annonceurs, même si leurs produits sont bien meilleurs.
Las, chaque nouvelle série de corrections apporte de nouveaux bogues, que la presse vendue et lèche-bottes passe sous silence. Ainsi, de l'aveu même de Microsoft, windows 98 pose plus de problèmes de compatibilité avec l'an 2000 que Windose 95, qui en pose plus que windows 3.1. (!) Vendue et lèche-bottes, cette presse informatique qui vous vante les PC et autres produits du tandem Intel/Microsoft évite cependant d'en utiliser trop. Ainsi, en France, la quasi-totalité de ces journaux et revues est-elle réalisée sur Apple Macintosh, la plateforme informatique concurrente! Ce qui prouve bien que les produits Micro$oft sont destinés à ceux qui ne les connaissent pas assez bien ou ignorent que Microsoft a encore quelques concurrents.
Au final, les pauvres utilisateurs s'empressent d'acheter de nouvelles versions, aussi peu satisfaisantes que les précédentes et qu'il faudra donc mettre rapidement à jour. Et ainsi de suite… Voilà comment Microsoft amasse les dollars. Et pour s'assurer que la concurrence ne va pas réagir, tous les moyens sont bons : intimidation, vol de technologies, prise de contrôle financier, lobbying complètent le dispositif de monopolisation de l'espace médiatique.
Bien sûr ces pratiques ne sont ni très honnêtes, ni compatibles avec une économie de libre marché, voilà pourquoi Micro$oft, l'ogre de Redmond, doit faire face à la Justice Américaine, celle-ci s'inquiétant du retard technologique que Microsoft impose au monde informatique par ses pratiques d'abus de position dominante, qui brident, étouffent ou éliminent la concurrence, qui — elle — innove, tandis que la firme de Redmond copie, rachète et bogue.
on se croirais sur un forum de foot psg/om
mais version sega-nintendo/sony
bah certes sony a tout rafflé avec la play 1, et en basant sa politique sur pas mal de "pompage" au debut pour lancer sa console. D'un autre coter il ne pouvait pas developper en parallele une console et des jeux completement originaux.
alors forcement on a tous mal digeré de retrouver nos jeux preferé sur une nouvelle console autre que sega ou nintendo.
mais bon en venir a s'engueuler pour une console du calme les gars.
pour microsoft :
Code:
cette société éprouve de grosses difficultés à concevoir des logiciels de qualité
certes mais leurs jeux sont bien par contre, et qq1 de leurs peripheriques