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Envoyé par Leo21
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mdr en ayant vue le titre de la vidéo 8-0 j'ai cru que c'etais le score du match
, c'est sur que ce match rien a dire
.
on pas pas dire que c'est le psg d'aujourd'hui
.
ressemant que j'ai pas vue la vidéo avant de dormir
mais vous inquiéter pas c'etais un de vos dernier match du même style
ps: en attendant jme tire en l'entrainement a+ les parisienne
Où sont les buts ?
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Il n'est plus l'heure de se voiler la face. Qu'on se le dise une bonne fois pour toutes : le Championnat de France de Ligue 1 est loin des quatre grands du Vieux Continent. La Bundesliga, pourtant décriée, est devant. La Serie A, la Liga et évidemment la toute puissante Premiership aussi. Mais pire que ces décalages de niveau, il existe un déficit d'intérêt et d'attrait qui a explosé au grand jour lors de la 32e journée de Ligue 1. Si ce score famélique (8 buts) est aussi à mettre sur le compte d'un jour sans, le mal est tout de même profond. Depuis quelques saisons, les buts ont déserté la Ligue 1. L'exercice 2006/2007 était parti sur des meilleures bases que les précédents mais le 32e épisode du championnat nous a ramenés à la dure réalité (moyenne de buts 2006/2007 : 2,21 contre 2,39 en 2005/2006).
Les causes de leur succès sont les raisons de notre échec
Pourquoi une telle tristesse ? Les raisons sont multiples. Et si l'on fait un parallèle avec la Premiership qui a placé trois clubs en demi-finales de la Ligue des Champions et enchante ses fidèles spectateurs week-end après week-end, on se rend rapidement compte que les causes de leur succès sont les raisons de notre échec (Lire "Impériale Angleterre"). Le pouvoir économique du Championnat d'Angleterre, l'état esprit, le talent de ses joueurs et sa maturité tactique nous ramène aux déficiences du football français.
Didier Drogba est meilleur buteur de la Premiership, Frédéric Kanoute celui de Liga. Deux joueurs qui ont fréquenté assidument la Ligue 1 il y a quelques temps et que les clubs (OM et OL) n'ont pas su, voulu ou pu conserver dans leurs effectifs respectifs. Aujourd'hui, ils font le bonheur de l'Angleterre et de l'Espagne. En France, c'est Steve Savidan (Valenciennes) qui mène la danse avec 13 petits buts. Muet depuis la 24e journée - le 10 février - et son quadruplé réussi à Nantes (2-5), le Nordiste n'a toujours pas été rattrapé par la "meute". Résultat : le meilleur réalisateur de la saison pourrait devenir le "pire" roi des buteurs de l'histoire. Mais le Nordiste n'est pas à blâmer. Steve Savidan fait le travail et, faut-il le rappeler, jouait en Ligue 2 l'an passé. On peut juste se désoler du manque de grands attaquants en Ligue 1. Les raisons sont en partie économiques.
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