FF8, le final fantasy le plus polémiqué. Certains disent que c'est un effet de mode de le critiqué, d'autres disent que c'est pour jouer les hard cores gamer.
personnelement, je trouves que il y a deux points positifs sur ce désastre : une difficulté exemplaire ( je l'ai trouvé plus difficile que le 6 ) et le jeu de carte.
Sortant de ces deux points, FF8 est un parfait désastre sur plusieur point de vue. Il est beaucoup trops réaliste, la psychologie des personnages est un désastre ( entre un autiste qui sait que répondre par "...", ce fait dragué par une fille mais il a besoin de plusieurs années avant de lui dire un mot ; une espèce de couillons qui n'a rien trouver d'autre comme insulte que "tête de hérisson" et "je vais te tuer car je t'aimes pas"; un bouffon bouffeur de brezelle à l'apparence déconcertant, punk, qui ce croit drôle à nous soualé avec ces petites vannes de merde; ou encore un prof digne de sortir d'un film porno caricatural avec ces lunettes noires, qu'on comprends pas vraiment ce qu'elle fait là; le sénariste nous à gatté. La seule à ce sortir plus ou moins indemne, c'est Rinoa. malgrès ses scène cul-cul la praline avec sa sâle chienne, et son entêtement à vouloir mettre à l'horizontale un espèce d'autiste, sois-disant interessant, fait de cette fille, finalement le personnage le plus psychologiquement stable ) et la quête n'est pas du tout difficile, contrairement à c'est précédent, où il fallait quand même cherché un peu ( Squall est un autiste qui vit que dans son monde )
pour continuer, le système de combat est le plus soulant des FF. Alors c'est bien d'avoir une difficulté exemplaire, mais faut quand même nous mettre des combats avec un once de stratégie ( ben oui, écarté les limites, les personnages se ressemble tous, et c'est la même chose de prendre Squall-Linoa-Zell, ou Selphie-Squall-"la prof". Le seule qui font la différence, c'est Squall et Irvine...et encore ). L'issue du combat est je-nique-ta-mère à coup de GF, ou je-nique-ta-mère à coups de limite si j'ai assez de courage pour jouer avec des chiffres dans le jaune....
l'histoire : elle s'en mêle à vouloir faire une espèce de perfection, mais finalement, l'histoire est aussi soulante qu'un "Mystère à la chambre jaune", entre histoire de sorcière envoûté, ça se mélange et il n'y a pas vraiment de but précis à l'histoire, ce qui fait que cette dernière est hyper mole. A ne pas oublier les passages de rêve avec les trois autres couillons, barbant comme tout, et qu'on ne souhaite qu'une chose, c'est que ça passe pour pouvoir continuer le scénario principale, certes médiocre, mais bien plus intéressant que c'est trois autres connard
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