Pour en revenir au sujet initial...

Ooooh, que c'est bien dit :
"Bien fait pour Eidos, ils n'avaient qu'à pas nous sortir des jeux tous pourris, prout prout !"

Vous avez quel âge ? Dois-je vous rappeller que ce qui constitue Eidos ce ne sont ni des jeux, ni de l'argent, ni un département marketing, non ce qui constitue Eidos ce sont des gens qui travaillent, qui font leur boulot en obéissant à leurs chefs afin de recevoir leur paye à la fin du mois et de pouvoir vivre.
Quand on se réjouit des pertes d'une entreprise, on se réjouit du malheur de ceux qui vont pointer à l'ANPE, et galérer pendant des mois pour éventuellement arriver à s'en sortir.

Ah, elle belle cette mentalité de gosse, bravo je vous félicite !

Aussi, lorsque je parle des "chefs" qui dirigent des équipes, on va facilement me répondre que si il y a des pertes c'est de leur faute, tout en insérant dans la discussion ceux que l'on n'aime pas, tel que par exemple Sony, parce que forcément, sur un forum Dreamcast, ça fait bien. C'est vrai quoi, ces grands patrons ils n'y connaissent rien, ils nous abreuvent de suites en-veux-tu-en-voilà. Oui mais, si ils nous en abreuvent c'est qu'il y a des gens qui achètent, et justemment il y en a beaucoup. Ca s'appelle "l'effet de masse", appellé aussi dans certains cas, "l'effet de licence", ou encore "l'effet de suite".
Celà m'amène enfin à exprimer ce que je voulais dire : ces grands patrons, ces chefs, ces grandes entreprises éditrices de jeux vidéos, n'ont qu'un seul but, le même but que poursuit inlassablement toute entreprise dans le monde : faire de l'argent. Et si les gens achètent, même des suites chaque année, eh bien tant mieux, puisque ça les satisfait. Il est tout à fait normal qu'un joueur aime retrouver chaque année son Winning Eleven qui sera à chaque fois mieux fait, avec une banque de donnée mise à jour.

Les français on un vrai problème qui ressemble à un complexe : ils ont horreur que quelqu'un ou une société puisse réussir, et se faire beaucoup d'argent.