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Vieux 13/06/2004, 00h45   #23 (permalink)
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soyons clairs sur la presse des jeux vidéo. "ce jeu il est pas bien". "ce jeu il est pas cher donc forcément nul". "ce jeu il est cher donc il est forcément trop bien". tiiiiiiiiiilt ! page publicitaire. "ce jeu il est vraiment trop génial". tiiiiiiiiilt ! page publicitaire. proutprout games présente : coincoin massacre. "ouah, je connais pas, mais que ça doit être trop fun, et en plus, pas cher, juste 79,99999 euros, avec la boîte collector, et bien sûr, le jeu n'est pas traduit, non mais, de qui se moque-t-on ? ben alors, je l'achète plus ! ".
ça suffit, stoooop !
les revues dites "spécialisées" parlent toujours des mêmes jeux hyper connus, ils se veulent des critiques intellos, mais ils sont franchement crétins, et ils ne parlent jamais des petits jeux dont on voudrait bien avoir des infos. et puis, pourquoi des crétins diraient que "ça, c'est bien et ça, c'est pas bien". ils se veulent supérieurs aux autres ? et bien, tout ce qu'ils vont gagner, c'est que plus personne ne va les lire. la critique est aisée, l'art est difficile !
dans tous ces charmants critiqueurs du trou de ma poche, lesquels pourraient vraiment programmer des jeux comme les concepteurs qu'ils descendent en flammes ?
regardez ces nazes de jeuxvideo.com, ils se la pètent plus haut que le derrière, mais, surtout, ils devraient jouer aux jeux avant de les critiquer. c'est un peu comme raconter un film en ne connaissant que son affiche. de plus, ils comparent des jeux vraiment sans aucun rapport, du style "silent hill" rangé en même catégorie que "manhunt". n'importe quoi, car ces deux jeux ( design, scénar, ambiance... ) n'ont rien à voir.
pour finir, quel que soit le produit, j'aime avoir ma propre opinion sans me sacrifier au jeu marketing pitoyable de gros bouffons qui me dictent "ça, t'aime" et "ça, t'aime pas".
y'en a marre de tous ces gens qui sont finalement aussi des humains comme les autres, viennent nous pousser dans nos choix en débitant des sermons et leçons en veux-tu, en voilà. et bien, fichez le camp, car j'en veux pas !
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